Ah, la gap year ! On en parle dans tous les cafés étudiants, sur les forums, entre potes qui se cherchent… Ce concept venu d’ailleurs s’est faufilé dans nos conversations et nos projets. Mais au fait, c’est quoi exactement cette fameuse année de césure qui fait tant rêver ? Embarquons pour un tour d’horizon de cette parenthèse qui pourrait bien chambouler votre vie (dans le bon sens).
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La gap year, késako ?
En gros, la gap year, c’est cette année où tu mets sur pause ton chemin tout tracé pour vivre autre chose. Ni plus, ni moins. Que tu sois étudiant blasé des amphis ou jeune pro déjà en quête d’air frais, c’est ton moment pour bifurquer temporairement.
Ça peut durer 6 mois, un an, parfois plus pour les plus aventureux. L’idée ? Sortir du moule, vivre des expériences que ton parcours classique ne t’offrirait jamais.
Non, ce n’est pas juste « glander » ou fuir ses responsabilités ! J’ai croisé Lucie, 24 ans, qui m’a raconté : « Après avoir bouffé du Code civil pendant trois ans, je tournais en rond. Ma gap year en Asie m’a sauvée. Je suis revenue avec une vision claire de ce que je voulais vraiment faire de mon droit. »
Les mille et une façons de vivre sa gap year
Ta gap year, c’est comme un plat que tu customises à ta sauce :
- Le globe-trotter : sac à dos, auberges de jeunesse et rencontres à la pelle
- L’âme charitable : construire une école au Sénégal ou sauver des tortues au Costa Rica
- Le stagiaire international : bosser dans une startup à Berlin ou une ONG à Bangkok
- L’accro aux langues : plonger dans le grand bain linguistique et revenir bilingue
- L’apprenti spécialisé : se former en photographie, en cuisine japonaise ou en surf
Perso, j’ai vu des potes revenir métamorphosés après avoir bossé six mois en Australie. D’autres ont appris l’espagnol en trois mois au Pérou, là où aucun cours Duolingo n’aurait pu les amener aussi loin.
Mais pourquoi sauter le pas ?
Les raisons de se lancer sont aussi variées que les personnalités qui tentent l’aventure :
- Parce que t’en as marre de suivre le troupeau sans savoir où tu vas
- Pour ajouter des cordes à ton arc (et pas juste sur LinkedIn)
- Pour apprendre à te débrouiller quand ton Uber Eats n’est pas une option
- Pour découvrir que le monde ne se limite pas à ta bulle habituelle
- Pour avoir un truc cool à raconter en entretien (autre que ton stage photocopies)
- Pour enfin parler anglais autrement qu’avec des sous-titres Netflix
- Pour te trouver, tout simplement, quand t’as l’impression de tourner en rond
Une étude récente de l’Observatoire de la Vie Étudiante (2023) balance un chiffre qui fait réfléchir : 78% des étudiants revenus d’une gap year disent que ça a changé leur vision de leur avenir pro. Pas étonnant !
Le bon timing pour se lancer
Y a-t-il un moment parfait pour faire le grand saut ? Mmm, disons que ça dépend de là où t’en es :
- Post-bac : quand t’as ton diplôme mais aucune idée de ce que tu veux faire
- Entre licence et master : parfait pour reprendre ton souffle et affiner tes choix
- Diplôme tout chaud en poche : avant de plonger dans la jungle du monde pro
- Après quelques années de taf : quand tu sens que ton âme se fane dans ton open space
Le truc, c’est qu’il n’y a pas vraiment de « mauvais moment ». L’important, c’est de pouvoir expliquer pourquoi tu l’as fait, sans que ça ressemble à une fuite ou un caprice.
Effectuer une gap year avec Belanque : la voie express
L’idée te fait rêver mais t’es du genre à paniquer devant la paperasse et l’organisation ? C’est là que Belanque débarque comme ton sauveur.
Belanque, c’est une boîte qui te mâche le travail pour ta gap year. Ils s’occupent du bordel administratif pendant que toi, tu te concentres sur l’essentiel : ton projet perso.
Concrètement, ce que t’apporte effectuer une gap year avec Belanque :
- Un programme taillé sur mesure (pas le truc générique qu’on vend à tout le monde)
- Zéro prise de tête avec les visas, assurances et autres joyeusetés administratives
- Des portes ouvertes chez leurs partenaires internationaux (plutôt cool quand t’as zéro réseau)
- Quelqu’un qui te coache quand t’es perdu à l’autre bout du monde
- De quoi en tirer profit à ton retour (pas juste des photos Instagram)
Thomas, rencontré dans un webinaire, ne tarissait pas d’éloges : « Sans Belanque, je serais encore à galérer avec mon visa australien. Là, j’ai pu me concentrer sur mon job à Sydney et profiter à fond. »
Ce que ta gap year t’apporte vraiment
Au-delà des photos de coucher de soleil sur la plage, qu’est-ce que tu ramènes dans tes bagages après une gap year ?
- Tu parles (enfin) anglais : et pas juste pour commander une bière
- Tu deviens MacGyver : face à des situations inattendues, tu trouves toujours une solution
- Ton réseau explose : t’as maintenant des potes aux quatre coins du globe
- Tu te découvres : rien de tel que d’être loin de ta zone de confort pour voir qui tu es vraiment
- Ton CV sort du lot : entre deux candidats similaires, celui qui a une gap year intéressante a souvent une longueur d’avance
Le British Council ne dit pas autre chose : selon leur étude de 2022, 64% des recruteurs ont un faible pour les profils avec une gap year cohérente dans leur parcours. Pas mal, non ?
La question qui fâche : comment payer tout ça ?
Parlons peu, parlons cash : une gap year, ça coûte des sous. Mais pas de panique, y a des plans :
- La tirelire : commencer à mettre de côté dès que l’idée germe (adieu les restos à 30€)
- Les bourses cachées : y a plein de fondations qui financent des projets originaux, faut juste les déterrer
- Bosser sur place : barman en Irlande, fruit picker en Australie, prof de français au Japon
- Le volontariat tout compris : certains programmes couvrent logement et bouffe
- Le système D : mixer plusieurs sources pour atteindre ton budget
Le petit plus si tu choisis d’effectuer une gap year avec Belangue ? Ils ont des plans pour bosser pendant ton séjour et rentabiliser une partie de ton voyage. Pratique quand le compte en banque fait la tronche.
Les pièges qui peuvent gâcher ta gap year
Pour éviter que ton année de rêve ne vire au cauchemar, voici les erreurs à ne pas commettre :
- Y aller à l’arrache : non, une gap year ne s’improvise pas trois jours avant le départ
- Partir sans but : « voir le monde » c’est cool, mais avoir un objectif précis c’est mieux
- Oublier le retour : pense à comment tu vas vendre cette expérience après
- Couper les ponts : garde contact avec ton école, ton réseau, tes profs
- Négliger les traces : tiens un blog, fais des vidéos, garde des preuves de ce que tu as appris
Comment parler de ta gap year en entretien sans passer pour un hippie
Ta gap year n’est pas un trou dans ton CV, c’est une pépite ! Encore faut-il savoir la présenter :
- Intègre-la fièrement dans ta timeline pro, pas en bonus facultatif
- Parle des compétences concrètes : « J’ai géré un budget de voyage serré » plutôt que « J’ai découvert le monde »
- Fais le pont avec le job visé : en quoi cette expérience te rend meilleur pour ce poste ?
- Prépare ton pitch en 30 secondes, avec l’étincelle dans les yeux
- Appuie-toi sur du concret : cette certification de langue, cette lettre de recommandation de ton boss australien
Ta gap year t’attend, qu’est-ce que t’en dis ?
Étudiant qui doute, jeune diplômé qui hésite, pro qui s’ennuie… La gap year, c’est cette parenthèse qui peut tout changer. Pas juste une pause, mais un vrai tremplin vers la suite.
Soyons honnêtes : qui a déjà regretté d’avoir pris le temps de vivre des expériences enrichissantes ? « Les voyages forment la jeunesse », disait l’autre. Et la gap year, c’est sans doute le voyage le plus formateur de tous.
Que tu te lances en solo ou décides d’effectuer une gap year avec Belanque pour plus de sécurité, l’essentiel est que cette aventure te ressemble. Alors, elle ressemblerait à quoi, ta gap year de rêve ?